Wednesday 27 March 2013

Une Lecon au barbare


En tant qu'étudiant en Chine, vivre la dissidence n'était pas facile pour moi. Au cours des cinq années à l'école élémentaire, on naturellement devenait soit compliant aux  parents soit enseignants - je n'avais pas le droit de n’opposer - c'était le privilège des adultes. Les querelles occasionnelles se terminaient toujours avec moi comme perdent. La couverture d’autorité m'éclipsait, m'engloutissait et m'asphyxiait au point que je ne pouvais plus voir au-delà du voile de la suprématie.
  A la fois, je voulais le changement; je voulais m’échapper à des règles strictes, les punitions sévères et le manque de cordialité.
  La graine de révolte a enfin germée en avril 2007, quand j'étais seulement un étudiant en quatrième année. C'était un jour de semaine typique. La cour de l'école pittoresque formait un contraste distinct avec la grisaille de la classe. Les ampoules électriques étaient éclairées brillamment. Quand même, une expression sombre dominait nos visages. Il était temps pour vérifier les devoirs. Notre professeur faisait le tour de la salle de classe avec des marches sombres. Il portait une petite reliure qui enregistrait notre état d'achèvement. C'était un événement rare qu’un étudiant de ne ose pas faire leur travail. Nous savions que la punition serait grave.
  Ce jour-là, une personne malchanceuse a franchi la ligne rouge. Je pouvais me souvenir  encore de son visage effrayé  quand notre professeur s'est approché de lui: ”Où est le cahier?" "Je ... j'ai oublié" Il a bégayé timidement. Il se trouvait que c'est sa deuxième fois dans un rôle. Le silence dans la salle est devenu assourdissant pendant nous attendions tous nerveusement pour son châtiment Il n'y avait plus besoin de conversation quand notre professeur, a traîné bestialement l'élève pour l'oreille de se tenir en face de la classe, où une tempête de réprimandes dérogatoires qui l'attendait : « barbare! Imbécile ! » L'étudiant avait l'air misérable. Il sanglotait et criait, trop gêné pour regarder ses camarades de classe. Le châtiment le plus sévère de tous est venu plus tard, quand le professeur, furieux, a commencé à frapper au hasard de l'élève avec un bâton de mètre. Enfin, l'enseignant assigné le sujet de la dissertation rare pour la journée: « Devrait-on punir le barbare ?».
  Je suis furieux: « Barbare? Ce garçon sans défense? »
  Ce nuit-là devenait turbulente que je pesais en silence. Autant que je voulais corriger cette injustice, j'étais douloureusement conscient de l'impossibilité. Connu pour être timide et taciturne, je n'avais pas le courage d'affronter l'enseignant. J'étais profondément perplexe. La peur et les principes comme le diable et l'ange, combattant pour la domination dans les quelques centimètres de mon crâne. J'étais laissé avec deux options sans compromis: la résistance signifiait la peine, l'obéissance signifiait l'impunité de la tâche répugnante qui finirait eu provoquent du ressentiment.
  Enfin, j’ai fait la décision la plus importante de ma vie - c'était mon plus fierté moment : «nous ne devons jamais transiger sur nos valeurs et croyances! » Je voulais faire ce que je pouvais pour éviter l'atrocité de se reproduire et je argumentais  fort avec raison que ses actes étaient mauvais : « C’est ne pas juste de frapper une personne cela leur donnerait le affreux message qu'il est permis de faire du mal à quelqu'un d'autre ... »
  C'était ma première nuit éveillé. Mon esprit était obscurci avec inquiétude. Demain, le jour redouté se lèverait en tant que mon esprit serait se plongé dans l'abîme où attendait l'avenir.   
   Le lendemain, j'ai remis ma dissertation avec un mélange de sentiments - l'apetisse et l’anticipation - dans mon affliction, j'ai choisi de défendre ce qui est juste, même si cela signifiait que j'étais seul. Quand les dissertations étaient redonnées à nous, le professeur  m'a appelé à son bureau. J’étais effrayé, mais  à la fois, je me suis senti fier - une fierté particulière qui diffère de celles que j'ai ressenti quand j’ai reçu de bonnes notes, parce que je savais ce que j'ai fait était noble et juste. Quand je suis entré dans sa chambre, il me regardait maladroitement : « J'ai lu ton dissertation, elle est très bien écrite. Je n'ai jamais pensé à mes actions parce que mes étudient n'ont jamais révolté. Mes actions étaient excessif - tu me l’as fait le réaliser que j’étais le barbare»
   En ce moment, je me suis me rendre compte que je regardais un professeur très agréable. J’ai souri: « le courage et la compassion est contagieuse. »